Crédit photo : Laura Krieg : K089, Lovataraxx : @lefamoustang
Concert
Pop Brutaliste / Montréal
Laura Krieg est une musicienne de pop brutaliste originaire de Montréal. Son deuxième album, Crépuscule, s’inscrit dans la tradition des projets de synthétiseurs minimaux du début des années 1980, avec des couches de synthétiseurs froids et des percussions électroniques profondes.
On retrouve également sur l’album des collaborations avec Johny Couteau (coauteur du premier titre et collaborateur musical tout au long de l’album), Xavier Paradis d’Automelodi (qui fournit un remix étendu du titre pour clore l’album), Nick Rony (mixage) et Bad Faith Actor (basse sur « Délire Ou Vide »).
Pour accompagner la sortie de l’album, un clip du morceau Crépuscule a vu le jour. Il a été réalisé par le réalisateur pluridisciplinaire et collaborateur fréquent de Laura Krieg : K089.
Synth-punk – EBM / Athènes
Eddie Dark est l’alter ego vampirique de l’artiste multimédia Nikolas Petsitis. Enchevêtrant le charisme sensuel de l’EBM old school avec l’agression mélancolique de la scène synth-punk underground grecque, Eddie Dark explore les côtés les plus étranges de la musique électronique, aidée par des performances live imprévisibles et hyper-énergétiques.
Il y a deux ans, EDDIE est sorti de sa tombe pour la première fois, plein d’une soif de vivre. Malheureusement, non seulement il ne s’est pas senti vivant un seul instant, mais il s’est retrouvé confronté à quelque chose de bien pire que la mort : la réalité athénienne. Dans son nouvel album, « DISKO-TERRORISTA », EDDIE DARK met fin à la mélancolie et laisse place au cynisme. 10 titres remplis de colère contre Athènes, la scène musicale alternative grecque, la déception amoureuse, les bars, les fêtes et surtout contre lui-même.
Dark Wave – Minimal synth / Lyon
Lovataraxx explore les tréfonds de la minimal wave et du post-punk depuis une dizaine d’années. Les lyonnais ont tournée de manière intensive en Europe aux États-Unis et en Amérique latine. Ils s’entourent de synthétiseurs corrosifs, de boites à rythme tranchantes, d’une basse de plomb et de téléviseurs cathodiques qui projettent des messages subliminaux.
Des voix envoûtantes, des mélodies à faire pâlir tous les John Carpenter de la terre, le tout résonne avec un familier sentiment d’étrangeté.
